par Anna Szlendak
Aujourd’hui, nous discutons avec Luc, un ambassadeur de l’AYCH en Corée.
Salut Luc, pouvez-vous nous parler un peu de vous-même?
J’ai obtenu mon diplôme il y a 4 ans en urbanisme et en gestion de projet européen au sein de l’université de Lille. Cette éducation m’a donné une bonne connaissance des règles, des institutions et des politiques de communication de l’UE et j’avais hâte de commencer à travailler dans la coopération européenne. Mais une opportunité professionnelle m’a fait commencer ma carrière dans la gestion d’une plate-forme de rénovation écologique promouvant l’efficacité énergétique dans les bâtiments. Même si cette expérience a été vraiment intéressante, j’ai toujours voulu revenir à mon étude originale et le bénévolat pour le projet AYCH Interreg a été la bonne occasion de le faire et je dois dire qu’il a largement dépassé mes attentes.
Comment avez-vous découvert AYCH ?
Je cherchais une mission à l’étranger, en particulier en Espagne, alors j’ai découvert le projet par le biais du programme Interreg Volunteer Youth. Il a donné l’occasion d’être inscrit à une mission de 6 mois de bénévolat dans le projet AYCH à Vida Lactea.
Pourquoi existe-t-il des programmes comme AYCH ?
Je pense que c’est une nouvelle façon de voir l’éducation et de proposer quelque chose de complémentaire. Pour mieux trouver un emploi ou créer votre propre entreprise, vous devez également avoir des compétences douces qui sont plus faciles à développer dans des programmes comme AYCH
Quelles opportunités AYCH offre-t-elle à votre avis aux jeunes?
Il offre la possibilité d’apprendre et de créer à la même chose sans le risque ou la peur de perdre (comme l’argent). C’est aussi un bon moyen de gagner l’estime de soi.
Qu’est-ce que ça t’a donné ?
Parmi le fait que cette expérience a été la meilleure façon d’apprendre ou de pratiquer de nouvelles langues, c’était aussi un bon moyen d’améliorer mes compétences comme le travail d’équipe et les compétences en communication, c’est-à-dire être en mesure d’expliquer mes idées et essayer de sentir ou de comprendre comment les autres se sentent, en fonction de ce qu’ils disent ou par leur langage corporel. C’était particulièrement vrai lors des activités transnationales avec les autres partenaires européens, où la diplomatie et la compréhension mutuelle étaient la clé de tout.
Quels sont vos plans actuels? Pouvez-vous me parler un peu de vos idées futures?
AYCH a été un atout important pour stimuler ma carrière. Grâce à AYCH, j’ai trouvé un emploi à l’École d’architecture en tant que directeur des affaires internationales, et grâce à cela, je reçois ensuite un emploi à l’ambassade Français en Corée. Il s’agit d’un contrat de 2 ans, alors maintenant je me concentre sur ce travail et je pense que dans deux ans.